le 2 mars 2011,
L’incroyable hold-up !
4 589 milliards d’aide publique ont été injectés en Europe dans le système financier et bancaire pour qu’il survive à la crise !
Cette information, révélée par Arnaud Montebourg dans un entretien sur BFM-TV, m’indigne. Elle s’affiche quelques jours après celle divulguée par la Confédération syndicale Force Ouvrière indiquant que 25% de travailleurs gagnent moins de 750 euros par mois, soit plus de 6,25 millions de travailleurs en France.
D’un côté les nantis, (ne confondez pas avec les fonctionnaires), ceux qui veulent assurer leur surnuméraire, celui de leurs enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants, et de l’autre les plus de 10 millions de Français qui galèrent pour trouver un boulot, un toit, ou pour manger, lorsque ce n’est pas tout à la fois.
Nos dirigeants nationaux seraient bien inspirés de ne pas trop vanter les mérites de la démocratie en marche dans les pays du Maghreb, lorsqu’en Europe ils s’assoient sur le vote des Français, des Irlandais et de tous les européens.
Dès avant le vote du 29 mai 2005, au vu du comportement de la classe dirigeante, Anne-Marie Le Pourhiet a pu se demander si nous n'allions pas vers une forme de « post-démocratie ». « Ce mépris inouï de la démocratie est d'autant plus provocant que l'on se pique de donner des leçons aux Etats candidats en les soumettant à d'humiliants examens de passage. A quoi sert-il d'élire démocratiquement un parlement national dont la tâche ne se borne plus qu'à transposer les directives élaborées par des instances oligarchiques ? »
La course aux profits devient le seul objectif. En vingt ans la part des salaires dans le produit intérieur brut français a baissé de 9,3 %. Cette affirmation vient d’un article de la Banque des règlements internationaux (BRI), une institution qui réunit chaque mois à Bâle (Suisse), les banquiers centraux afin de « coordonner les politiques monétaires et d’édicter des règles prudentielles ». Ce n’est pas vraiment un repaire de marxistes.
Le produit intérieur brut de la France, soit le total des richesses produites en une année, s’élève en 2009 à plus de 1 800 milliards d’Euros. C’est donc un pays riche. Lorsque ces économistes disent que la part des salaires dans cette richesse a perdu 9,3%, il s’agit de 167 milliards qui sont passés de la poche des salariés dans celle des banquiers, fonds de pensions, etc.
Lorsqu’on veut s’attaquer au système, une grande confusion est entretenue par les profiteurs et les professeurs d’économie orthodoxe. Ils veulent imposer la pensée selon laquelle, lorsqu’on s’attaque aux riches, on s’attaque aux entreprises. Or il n’y a rien de plus faux. Les riches actuels, sont les prédateurs des entreprises et du monde du travail. D’ailleurs n’est-ce pas aujourd’hui la bourse qui impose la cadence alors qu’elle a été créée pour aider l’entreprise et son investissement ?
C’est un système mafieux qui est entretenu par les partisans de la mondialisation, de la concurrence libre et non faussée, par ceux qui nous expliquent que la libéralisation des marchés est un bienfait tout en augmentant de 20% le prix du gaz et de l’électricité libérés !
C’est donc un choix politique du gouvernement actuel et de sa bande de supporters qui font payer la crise à ceux qui en ont le moins !
Enfin il est un fait qui doit nous rassurer. Les Tunisiens, les Egyptiens et tous les habitants des pays du Maghreb ne se battent pas pour imposer l’islam, mais pour conquérir leur liberté, un emploi et un revenu décent !
Ne nous trompons pas de cible !
C’est une lutte internationale qui est le fruit d’un mal international.
La mondialisation des pertes et la concentration des profits.
Et si nous prenions le chemin de la Bastille ?
Article de Gardarist sur AgoraVox
Cette information, révélée par Arnaud Montebourg dans un entretien sur BFM-TV, m’indigne. Elle s’affiche quelques jours après celle divulguée par la Confédération syndicale Force Ouvrière indiquant que 25% de travailleurs gagnent moins de 750 euros par mois, soit plus de 6,25 millions de travailleurs en France.
D’un côté les nantis, (ne confondez pas avec les fonctionnaires), ceux qui veulent assurer leur surnuméraire, celui de leurs enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants, et de l’autre les plus de 10 millions de Français qui galèrent pour trouver un boulot, un toit, ou pour manger, lorsque ce n’est pas tout à la fois.
Nos dirigeants nationaux seraient bien inspirés de ne pas trop vanter les mérites de la démocratie en marche dans les pays du Maghreb, lorsqu’en Europe ils s’assoient sur le vote des Français, des Irlandais et de tous les européens.
Dès avant le vote du 29 mai 2005, au vu du comportement de la classe dirigeante, Anne-Marie Le Pourhiet a pu se demander si nous n'allions pas vers une forme de « post-démocratie ». « Ce mépris inouï de la démocratie est d'autant plus provocant que l'on se pique de donner des leçons aux Etats candidats en les soumettant à d'humiliants examens de passage. A quoi sert-il d'élire démocratiquement un parlement national dont la tâche ne se borne plus qu'à transposer les directives élaborées par des instances oligarchiques ? »
La course aux profits devient le seul objectif. En vingt ans la part des salaires dans le produit intérieur brut français a baissé de 9,3 %. Cette affirmation vient d’un article de la Banque des règlements internationaux (BRI), une institution qui réunit chaque mois à Bâle (Suisse), les banquiers centraux afin de « coordonner les politiques monétaires et d’édicter des règles prudentielles ». Ce n’est pas vraiment un repaire de marxistes.
Le produit intérieur brut de la France, soit le total des richesses produites en une année, s’élève en 2009 à plus de 1 800 milliards d’Euros. C’est donc un pays riche. Lorsque ces économistes disent que la part des salaires dans cette richesse a perdu 9,3%, il s’agit de 167 milliards qui sont passés de la poche des salariés dans celle des banquiers, fonds de pensions, etc.
Lorsqu’on veut s’attaquer au système, une grande confusion est entretenue par les profiteurs et les professeurs d’économie orthodoxe. Ils veulent imposer la pensée selon laquelle, lorsqu’on s’attaque aux riches, on s’attaque aux entreprises. Or il n’y a rien de plus faux. Les riches actuels, sont les prédateurs des entreprises et du monde du travail. D’ailleurs n’est-ce pas aujourd’hui la bourse qui impose la cadence alors qu’elle a été créée pour aider l’entreprise et son investissement ?
C’est un système mafieux qui est entretenu par les partisans de la mondialisation, de la concurrence libre et non faussée, par ceux qui nous expliquent que la libéralisation des marchés est un bienfait tout en augmentant de 20% le prix du gaz et de l’électricité libérés !
C’est donc un choix politique du gouvernement actuel et de sa bande de supporters qui font payer la crise à ceux qui en ont le moins !
Enfin il est un fait qui doit nous rassurer. Les Tunisiens, les Egyptiens et tous les habitants des pays du Maghreb ne se battent pas pour imposer l’islam, mais pour conquérir leur liberté, un emploi et un revenu décent !
Ne nous trompons pas de cible !
C’est une lutte internationale qui est le fruit d’un mal international.
La mondialisation des pertes et la concentration des profits.
Et si nous prenions le chemin de la Bastille ?
Article de Gardarist sur AgoraVox
le 2 mars 2011, (edit 1)
La Libye est-elle un nouvel Irak ?
les États-Unis se préparent à son invasion.
De nombreux
signes laissent entrevoir la probable invasion militaire américaine de la Libye, un peu à la façon dont les États-Unis ont envahi l'Irak
pour le pétrole, pour renverser Saddam Hussein et le remplacer par un
dictateur fantoche nouvelle marque.
Obama a annoncé qu'il enverrait en Europe et au
Moyen-Orient des membres du CFR et le sous-secrétaire d'État
adjoint aux affaires politiques, William Burns. Selon Obama, M. Burns va "intensifier nos consultations avec les alliés et partenaires." En d'autres termes Burns sera le chef de file de l'intervention à venir en Libye, où il se situe autour de 46 milliards de barils de réserves pétrolières estimées.
Selon le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney, "aucune option" n'ont été retirés de la table quand il s'agit de la situation en Libye. "Notre travail consiste à donner des options pour le côté militaire, et c'est ce à quoi nous pensons maintenant" " Nous allons proposer au président des options dont il devrait avoir besoin". En disant que toutes les options sont à l'étude, c'est essentiellement un moyen pour l'administration Obama de menacer Kadhafi sans réellement y aller.
C'est assez drôle de voir ce qu' Obama exige de Kadhafi quand à peine l'an dernier, Barack Obama a contribué 400.000 $ à la famille Kadhafi . Ce n'est donc pas surprenant que les Etats-Unis donne régulièrement des aides militaires et monétaires aux dictateurs , y compris Saddam Hussein et Hosni Moubarak.
Les similitudes de l'invasion de l'Irak et de celle à venir de la Jamahiriya sont énormes, selon le Wall Street Journal , le gouvernement américain est préoccupé par "armes de destruction massive" que Kadhafi a apparemment: "Le gouvernement du colonel Mouammar Kadhafi n'a pas détruit d'importants stocks de gaz moutarde et d'autres agents chimiques, des armes, faisant craindre à Washington ce
qui pourrait leur arriver et qui pourraient être utilisés par la Libye dans le chaos."
Le Wall Street Journal a également déclaré que les responsables américains estiment que Kadhafi possède "1.000 tonnes de concentré d'uranium", qui selon eux, sont une grave menace pour la communauté internationale.
Il ya aussi des rumeurs qu'Al-Qaïda serait en Libye, aujourd'hui même, il a été signalé qu'Al-Qaïda a mis en place un émirat islamique dans l'est de la Libye, dirigé par un ancien prisonnier américain de Guantanamo Bay.
Mais actuellement, l'excuse pour envahir la Libye serait sur les questions humanitaires.
(Le ministre de la Justice libyen a dit Kadhafi a personnellement ordonné l'attentat de Lockerbie )
Beaucoup de signes troublants montrent que les États-Unis se prépare à quelque chose.
L'ambassade des Etats-Unis en Libye a été fermé, les sanctions imposées, et le personnel des États-Unis ont été retirées du pays.
La Maison Blanche a déclaré jeudi que l'application d'une zone d'exclusion aérienne sur la Libye figurait parmi les options sur la table. "Lorsque nous examinons toutes les options, et cette option a été déposé, au moins dans la presse, elle a certainement été discutée dans d'autres lieux, car c'est en explorant les options que nous étudions leur faisabilité a dit globalement le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney, aux journalistes.
Ce fut l'une des options commanditées par l'administration Bush qui a fortement impacté les militaires et les civils irakiens, sur une base quasi hebdomadaire et surtout après l'intense campagne de bombardement "Renard du désert" de 1998. L'armée anglo-américaine a utilisé ces zones pour empêcher le gouvernement de Saddam Hussein d'utiliser des avions militaires et d'attaquer les Kurdes et les musulmans chiites, mais dans le temps, les zones d'interdiction de vol étaient devenues un moyen de contraindre l'Irak à se conformer à l'ONU et aux demandes de la Coalition pour rechercher les armes interdites en Irak. Un scénario probable serait de mettre en place une zone d'exclusion aérienne sur la Libye afin d'empêcher le gouvernement de bombarder à nouveau les manifestants si la situation de protestation persiste .
Ynetnews.com dit qu'un "fonctionnaire européen" anonyme prétend que les États-Unis et l'OTAN ont déjà été très occupés à faire des plans pour une action militaire contre la Libye ....
"La source dit que les chasseurs des États-Unis et de l'OTAN stationnées en Italie pourraient être envoyés intercepter des avions libyens, et que la guerre électronique contre eux a peut-être déjà été mises en œuvre."
La source a déclaré à Al-Qods al-Arabi que les forces de l'OTAN peuvent lancer une attaque aérienne contre la Libye ou tirer des missiles à partir de navires de guerre positionnés dans les eaux internationales, près de Tripoli. ”L'armée libyenne cache des armes qui pourraient également être ciblés, selon la même source.
La vérité est que la Libye n'est pas un endroit où nous voulons l'envoi de troupes des États-Unis pour souscrire Kadhafi et son gouvernement. Comme l'Irak, la Libye est un pays profondément divisé composé d'un grand nombre de factions tribales qui se haïssent. Ce n'est pas au milieu de cet endroit que nous voulons nos troupes.
Non seulement cela, mais le peuple de la Libye n'est pas trop friand des États-Unis. Toute intervention militaire américaine, peu importe comment on le souhaite, aura bientôt un profond ressentiment. Nos soldats deviendraient rapidement des cibles, tout comme ils le sont en Irak et en Afghanistan.
Pas seulement cela, mais quand l'armée américaine pénètre dans un pays, ils n'en sortent presque jamais. Les Etats-Unis veulent faire sauter Kadhafi et le remplacer par un dictateur fantoche plus pro-américain qui sera aussi, sinon plus, haï par le peuple libyen.
L'armée américaine est étirée façon de mince à même de penser à envahir un autre pays, les États-Unis est dans une crise financière et ont déjà dépensé plus de 2,5 billion de dollars $ sur les guerres en Irak et en Afghanistan combinés.
Les néo-conservateurs alimentent une autre invasion
"L'intervention militaire est quelque chose qui j'espère ne pas arriver, mais il semble qu'à un moment donné, cela devrait se passer"
C'est ce que Simon Henderson, Senior Fellow à l'Institut de Washington pour Near East Policy, a déclaré à CNN .
Le Washington Institute for Near East Policy est une opération néocon fanatique. Il soutient les positions du Likoud et d'autres fauteurs de guerres racistes en Israël. Il a été fondée par Martin Indyk, l'ancien directeur de recherche de l'AIPAC.
WINEP est également impliqué avec le Council on Foreign Relations à l'élaboration des politiques sur la guerre contre le faux terrorisme fabriqués et à l'intelligence qui a créé le réseau d'islamistes radicaux.
"Qu'est-ce qu'un nombre acceptable de morts parmi les civils ? Je ne sais pas. Choisissez votre schéma" a déclaré Henderson.
Pour le moins, on devrait avoir une liste des victimes se comptant par centaines, voir par milliers, nous ne voulons pas d'une liste de pertes s'élevant à des dizaines de milliers, ou 100.000 ou plus."
WINEP est intimement impliqué dans l'affaire Feith Office Douglas des Plans Spéciaux - y compris la cuisine du faux de l'intelligence et les effrayantes histoires d'ADM - de l'invasion illégale de l'Irak qui a finalement abouti à assassiner de plus d'un million d'Irakiens, de sorte que toute les larmes de crocodile versées sur la vie des Arabes ne sont pas sincères, c'est le moins qu'on puisse dire.
Le diplomate Nicholas Burns de l'ère Bush, qui siège au conseil d'administration du Rockefeller Brothers Fund et qui est plus ou moins permanent à la PSYOP du Pentagone CNN ces jours-ci, dit que Moammar ira probablement en mode destructif. Vous avez à craindre le pire sur Mouammar Kadhafi a t-il dit. Le dos au mur, il va sortir un flamboiement d'attaques vicieuses.
D'autres néo-conservateurs éminents semblent être un peu plus réticents. Le propagandiste Robert Kagan , qui a servi en tant que conseiller pour le Comité pour la libération de l'Irak - ou plutôt le comité de l'invasion et la destruction de l'Irak - a déclaré à CNN que l'élite mondiale ne doit pas parler des actions militaires immédiate dès maintenant. En d'autres termes, attaquer la Libye est une possibilité distincte. Il faut juste prendre le temps de faire bouger les choses.
Kagan est un membre fondateur du Projet pour le Nouveau Siècle Américain - l'organisation chargée de créer les fondements idéologiques de l'invasion de l'Irak - et est également un laquais mondialiste au Council on Foreign Relations. Il a travaillé au Département d'Etat.
Ibrahim Sharqieh, directeur adjoint de la Brookings Doha Center au Qatar, a interprété la déclaration de Kagan comme indiquant que la force militaire reste une possibilité. À mon avis, il est encore prématuré de parler de l'intervention militaire américaine en Libye à ce moment, mais il ne faut pas l'éliminer complètement, a déclaré Sharqieh.
L'Institut Brookings a pris de l'argent de la Fondation Ford, de la Fondation Rockefeller, de l'Organisation des Nations Unies, de la JP Morgan Chase, de Shell Oil, du le Forum économique mondial, et ne manque pas d'autres banques et de sociétés transnationales.
C'est une opération mondialiste essentielle.
Enfin, il convient de noter que la Libye a refusé d'obéir au FMI et les banksters Wall Street. Il ne s'agit pas seulement du pétrole, le dictateur Kadhafi a fait une erreur fatale en s'attaquant à son propre peuple et donnant ainsi aux mondialistes l'occasion d'envahir son pays.
Les peuples du Moyen-Orient et la Libye sont des pions dans le Nouvel Ordre Mondial anglo-américain du Moyen-Orient et vont vers leur soumission en se lançant dans des manifestations qui ont été conçues par les États-Unis et la Grande-Bretagne.
Les organisateurs qui ont lancé la Révolution égyptienne, ont présenté à un cas d'école de la CIA et furent partenaire d'une institution néocons internationale appelée International Republican Institute (IRI) qui comprend dans son conseil d'administration John McCain, Lindsey Graham et Brent Scowcroft.
Il n'y aura aucun changement pour le peuple libyen quand Kadhafi sera parti, mais seulement, ils auront la surprise de voir leur pétrole
volé et seront réduits à ramper aux pieds des banksters pour des opérations à prêts usuraires courts au FMI et à la Banque mondiale.
Article original en anglais sur NoWorldSystem.com
Selon le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney, "aucune option" n'ont été retirés de la table quand il s'agit de la situation en Libye. "Notre travail consiste à donner des options pour le côté militaire, et c'est ce à quoi nous pensons maintenant" " Nous allons proposer au président des options dont il devrait avoir besoin". En disant que toutes les options sont à l'étude, c'est essentiellement un moyen pour l'administration Obama de menacer Kadhafi sans réellement y aller.
C'est assez drôle de voir ce qu' Obama exige de Kadhafi quand à peine l'an dernier, Barack Obama a contribué 400.000 $ à la famille Kadhafi . Ce n'est donc pas surprenant que les Etats-Unis donne régulièrement des aides militaires et monétaires aux dictateurs , y compris Saddam Hussein et Hosni Moubarak.
Les similitudes de l'invasion de l'Irak et de celle à venir de la Jamahiriya sont énormes, selon le Wall Street Journal , le gouvernement américain est préoccupé par "armes de destruction massive" que Kadhafi a apparemment: "Le gouvernement du colonel Mouammar Kadhafi n'a pas détruit d'importants stocks de gaz moutarde et d'autres agents chimiques, des armes, faisant craindre à Washington ce
qui pourrait leur arriver et qui pourraient être utilisés par la Libye dans le chaos."
Le Wall Street Journal a également déclaré que les responsables américains estiment que Kadhafi possède "1.000 tonnes de concentré d'uranium", qui selon eux, sont une grave menace pour la communauté internationale.
Il ya aussi des rumeurs qu'Al-Qaïda serait en Libye, aujourd'hui même, il a été signalé qu'Al-Qaïda a mis en place un émirat islamique dans l'est de la Libye, dirigé par un ancien prisonnier américain de Guantanamo Bay.
Mais actuellement, l'excuse pour envahir la Libye serait sur les questions humanitaires.
(Le ministre de la Justice libyen a dit Kadhafi a personnellement ordonné l'attentat de Lockerbie )
Beaucoup de signes troublants montrent que les États-Unis se prépare à quelque chose.
L'ambassade des Etats-Unis en Libye a été fermé, les sanctions imposées, et le personnel des États-Unis ont été retirées du pays.
La Maison Blanche a déclaré jeudi que l'application d'une zone d'exclusion aérienne sur la Libye figurait parmi les options sur la table. "Lorsque nous examinons toutes les options, et cette option a été déposé, au moins dans la presse, elle a certainement été discutée dans d'autres lieux, car c'est en explorant les options que nous étudions leur faisabilité a dit globalement le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney, aux journalistes.
Ce fut l'une des options commanditées par l'administration Bush qui a fortement impacté les militaires et les civils irakiens, sur une base quasi hebdomadaire et surtout après l'intense campagne de bombardement "Renard du désert" de 1998. L'armée anglo-américaine a utilisé ces zones pour empêcher le gouvernement de Saddam Hussein d'utiliser des avions militaires et d'attaquer les Kurdes et les musulmans chiites, mais dans le temps, les zones d'interdiction de vol étaient devenues un moyen de contraindre l'Irak à se conformer à l'ONU et aux demandes de la Coalition pour rechercher les armes interdites en Irak. Un scénario probable serait de mettre en place une zone d'exclusion aérienne sur la Libye afin d'empêcher le gouvernement de bombarder à nouveau les manifestants si la situation de protestation persiste .
Ynetnews.com dit qu'un "fonctionnaire européen" anonyme prétend que les États-Unis et l'OTAN ont déjà été très occupés à faire des plans pour une action militaire contre la Libye ....
"La source dit que les chasseurs des États-Unis et de l'OTAN stationnées en Italie pourraient être envoyés intercepter des avions libyens, et que la guerre électronique contre eux a peut-être déjà été mises en œuvre."
La source a déclaré à Al-Qods al-Arabi que les forces de l'OTAN peuvent lancer une attaque aérienne contre la Libye ou tirer des missiles à partir de navires de guerre positionnés dans les eaux internationales, près de Tripoli. ”L'armée libyenne cache des armes qui pourraient également être ciblés, selon la même source.
La vérité est que la Libye n'est pas un endroit où nous voulons l'envoi de troupes des États-Unis pour souscrire Kadhafi et son gouvernement. Comme l'Irak, la Libye est un pays profondément divisé composé d'un grand nombre de factions tribales qui se haïssent. Ce n'est pas au milieu de cet endroit que nous voulons nos troupes.
Non seulement cela, mais le peuple de la Libye n'est pas trop friand des États-Unis. Toute intervention militaire américaine, peu importe comment on le souhaite, aura bientôt un profond ressentiment. Nos soldats deviendraient rapidement des cibles, tout comme ils le sont en Irak et en Afghanistan.
Pas seulement cela, mais quand l'armée américaine pénètre dans un pays, ils n'en sortent presque jamais. Les Etats-Unis veulent faire sauter Kadhafi et le remplacer par un dictateur fantoche plus pro-américain qui sera aussi, sinon plus, haï par le peuple libyen.
L'armée américaine est étirée façon de mince à même de penser à envahir un autre pays, les États-Unis est dans une crise financière et ont déjà dépensé plus de 2,5 billion de dollars $ sur les guerres en Irak et en Afghanistan combinés.
Les néo-conservateurs alimentent une autre invasion
"L'intervention militaire est quelque chose qui j'espère ne pas arriver, mais il semble qu'à un moment donné, cela devrait se passer"
C'est ce que Simon Henderson, Senior Fellow à l'Institut de Washington pour Near East Policy, a déclaré à CNN .
Le Washington Institute for Near East Policy est une opération néocon fanatique. Il soutient les positions du Likoud et d'autres fauteurs de guerres racistes en Israël. Il a été fondée par Martin Indyk, l'ancien directeur de recherche de l'AIPAC.
WINEP est également impliqué avec le Council on Foreign Relations à l'élaboration des politiques sur la guerre contre le faux terrorisme fabriqués et à l'intelligence qui a créé le réseau d'islamistes radicaux.
"Qu'est-ce qu'un nombre acceptable de morts parmi les civils ? Je ne sais pas. Choisissez votre schéma" a déclaré Henderson.
Pour le moins, on devrait avoir une liste des victimes se comptant par centaines, voir par milliers, nous ne voulons pas d'une liste de pertes s'élevant à des dizaines de milliers, ou 100.000 ou plus."
WINEP est intimement impliqué dans l'affaire Feith Office Douglas des Plans Spéciaux - y compris la cuisine du faux de l'intelligence et les effrayantes histoires d'ADM - de l'invasion illégale de l'Irak qui a finalement abouti à assassiner de plus d'un million d'Irakiens, de sorte que toute les larmes de crocodile versées sur la vie des Arabes ne sont pas sincères, c'est le moins qu'on puisse dire.
Le diplomate Nicholas Burns de l'ère Bush, qui siège au conseil d'administration du Rockefeller Brothers Fund et qui est plus ou moins permanent à la PSYOP du Pentagone CNN ces jours-ci, dit que Moammar ira probablement en mode destructif. Vous avez à craindre le pire sur Mouammar Kadhafi a t-il dit. Le dos au mur, il va sortir un flamboiement d'attaques vicieuses.
D'autres néo-conservateurs éminents semblent être un peu plus réticents. Le propagandiste Robert Kagan , qui a servi en tant que conseiller pour le Comité pour la libération de l'Irak - ou plutôt le comité de l'invasion et la destruction de l'Irak - a déclaré à CNN que l'élite mondiale ne doit pas parler des actions militaires immédiate dès maintenant. En d'autres termes, attaquer la Libye est une possibilité distincte. Il faut juste prendre le temps de faire bouger les choses.
Kagan est un membre fondateur du Projet pour le Nouveau Siècle Américain - l'organisation chargée de créer les fondements idéologiques de l'invasion de l'Irak - et est également un laquais mondialiste au Council on Foreign Relations. Il a travaillé au Département d'Etat.
Ibrahim Sharqieh, directeur adjoint de la Brookings Doha Center au Qatar, a interprété la déclaration de Kagan comme indiquant que la force militaire reste une possibilité. À mon avis, il est encore prématuré de parler de l'intervention militaire américaine en Libye à ce moment, mais il ne faut pas l'éliminer complètement, a déclaré Sharqieh.
L'Institut Brookings a pris de l'argent de la Fondation Ford, de la Fondation Rockefeller, de l'Organisation des Nations Unies, de la JP Morgan Chase, de Shell Oil, du le Forum économique mondial, et ne manque pas d'autres banques et de sociétés transnationales.
C'est une opération mondialiste essentielle.
Enfin, il convient de noter que la Libye a refusé d'obéir au FMI et les banksters Wall Street. Il ne s'agit pas seulement du pétrole, le dictateur Kadhafi a fait une erreur fatale en s'attaquant à son propre peuple et donnant ainsi aux mondialistes l'occasion d'envahir son pays.
Les peuples du Moyen-Orient et la Libye sont des pions dans le Nouvel Ordre Mondial anglo-américain du Moyen-Orient et vont vers leur soumission en se lançant dans des manifestations qui ont été conçues par les États-Unis et la Grande-Bretagne.
Les organisateurs qui ont lancé la Révolution égyptienne, ont présenté à un cas d'école de la CIA et furent partenaire d'une institution néocons internationale appelée International Republican Institute (IRI) qui comprend dans son conseil d'administration John McCain, Lindsey Graham et Brent Scowcroft.
Il n'y aura aucun changement pour le peuple libyen quand Kadhafi sera parti, mais seulement, ils auront la surprise de voir leur pétrole
volé et seront réduits à ramper aux pieds des banksters pour des opérations à prêts usuraires courts au FMI et à la Banque mondiale.
Article original en anglais sur NoWorldSystem.com
le 1 mars 2011,
Le président Chavez propose une commission
internationale de plusieurs pays pour dégager une solution pacifique et
non militaire en Libye
« Kadhafi a fui au Vénézuéla ». Il y a une semaine, les médias
occidentaux lançaient une enième campagne de mensonges visant non
seulement à associer l’image des massacres en Lybie à celle du président
vénézuélien, mais aussi, comme toujours, à occulter douze ans de
transformations anti-néolibérales, participatives, menées par une
démocratie de gauche.
En réalité dans sa première déclaration sur la Lybie faite à Telesur
le 27 février le président Chavez s’est démarqué de ceux qui appuient
aveuglément tout ce que fait Khadafi. Il a précisé qu’ « il n’approuvait
ni n’applaudissait toute mesure prise à tout moment ». Il a en outre
proposé officiellement ce lundi 28 février la création d’une commission
internationale dans laquelle plusieurs pays pourront user de leurs bons
offices de manière pacifique pour la solution du conflit lybien “sans
besoin de recourir aux armes ni d’envahir” le pays arabe. Il a expliqué
que le gouvernement vénézuélien a tenté de suivre « la ligne de la
prudence » et qu’en tant que président démocratique il lançait un appel à
la communauté internationale pour que « nous agissions politiquement,
pour une solution pacifique, pour la paix dans l’ensemble du monde arabe
et du Moyen Orient, en tout respect et pour que nous ne nous laissions
pas entraîner par les tambours de guerre ».
Le président vénézuélien a souligné que comme lors de la guerre du Golfe et de l’invasion de l’Irak, un « réseau dense de mensonges a été tissé par divers médias internationaux ». « Le danger ne réside pas seulement dans une possible guerre civile, mais dans une invasion de la part des Etats-Unis qui ne serait qu’une catastrophe. Je suis certain que les Etats-Unis exagèrent et tordent les choses dans leur sens pour justifier une invasion de la Lybie (…) Ils ont déclaré qu’ils offraient tout leur appui aux forces d’opposition et qu’ils n’écartaient pas une option militaire. Le pétrole lybien les rend fous ». “Je suis certain que de nombreux gouvernements sont d’accord pour chercher une formule politique, au lieu d’envoyer des armes et des blindés contre le peuple lybien ». Ce rejet de l’invasion nord-américaine est partagé tant par les sympathisants que par les opposants à Khadafi comme a pu le constater sur place le correspondant de Telesur Reed Lindsay.
Enfin, Hugo Chavez a rejeté la position qui « d’un côté condamne la violence et de l’autre « se frotte les mains pour le pétrole ». « Je m’interroge, a-t-il poursuivi ce lundi : pourquoi n’entend-on pas les mêmes condamnations d’Israël qui continue à massacrer le peuple palestinien, je demande : qui condamne les Etats-Unis pour le million de morts en Iran, en Afghanistan et en Irak ?”.
Il est vrai que lorsqu’on compare la force des réseaux de critique des médias créés lors de l’invasion de l’Irak, l’impact actuel de la désinformation, surtout à gauche, montre l’affaiblissement du sens critique et combien « l’opinion publique » dépend de grands groupes propriétaires de la vision du monde.
On ne peut qu’espérer, au nom d’un nécessaire équilibre et d’un véritable pluralisme, que la gauche européenne porte enfin dans son programme de gouvernement, un plan de démocratisation et de déconcentration des médias au-delà du Web, comme le gouvernement argentin vient de le faire en promulguant une loi qui octroie 33 % des fréquences téléviséees au secteur privé, 33 % au secteur public et 33 % au secteur associatif.
Relayé par : Chaviste13 sur HugoChavez.fr
Source : larevolucionvive.org
Le président vénézuélien a souligné que comme lors de la guerre du Golfe et de l’invasion de l’Irak, un « réseau dense de mensonges a été tissé par divers médias internationaux ». « Le danger ne réside pas seulement dans une possible guerre civile, mais dans une invasion de la part des Etats-Unis qui ne serait qu’une catastrophe. Je suis certain que les Etats-Unis exagèrent et tordent les choses dans leur sens pour justifier une invasion de la Lybie (…) Ils ont déclaré qu’ils offraient tout leur appui aux forces d’opposition et qu’ils n’écartaient pas une option militaire. Le pétrole lybien les rend fous ». “Je suis certain que de nombreux gouvernements sont d’accord pour chercher une formule politique, au lieu d’envoyer des armes et des blindés contre le peuple lybien ». Ce rejet de l’invasion nord-américaine est partagé tant par les sympathisants que par les opposants à Khadafi comme a pu le constater sur place le correspondant de Telesur Reed Lindsay.
Enfin, Hugo Chavez a rejeté la position qui « d’un côté condamne la violence et de l’autre « se frotte les mains pour le pétrole ». « Je m’interroge, a-t-il poursuivi ce lundi : pourquoi n’entend-on pas les mêmes condamnations d’Israël qui continue à massacrer le peuple palestinien, je demande : qui condamne les Etats-Unis pour le million de morts en Iran, en Afghanistan et en Irak ?”.
Il est vrai que lorsqu’on compare la force des réseaux de critique des médias créés lors de l’invasion de l’Irak, l’impact actuel de la désinformation, surtout à gauche, montre l’affaiblissement du sens critique et combien « l’opinion publique » dépend de grands groupes propriétaires de la vision du monde.
On ne peut qu’espérer, au nom d’un nécessaire équilibre et d’un véritable pluralisme, que la gauche européenne porte enfin dans son programme de gouvernement, un plan de démocratisation et de déconcentration des médias au-delà du Web, comme le gouvernement argentin vient de le faire en promulguant une loi qui octroie 33 % des fréquences téléviséees au secteur privé, 33 % au secteur public et 33 % au secteur associatif.
Relayé par : Chaviste13 sur HugoChavez.fr
Source : larevolucionvive.org